PROLOGUE
Flore
Pan
si d’un peu d’amitié… si tu seras sensible
cent combats plus doux
un torrent fameux
le foudre menaçant
ces fameux demi-dieux
point de mots assez grands
le silence est le langage
Il suffit d’avoir entrepris
ACTE I
Scène 1
parties d’apothicaire
trois et deux font cinq
un petit clystère
Scène 2
ha, ha, ha
ai-je bien fait de la bile
y mettre le nez
Scène 4
embrasser ma défense sans me connaître
Scène 5
on vous demande en mariage
petit papa mignon
le mari que je dis
Scène 6
mamour
accommodant les oreillers
ne parlons point de cela
Scène 7
j’ai à vous dire là-dessus
la disposition serait nulle
d’autres personnes bien plus accommodantes
Premier intermède
Polichinelle
tigresse
archers
Champagne, Poitevin, Picard
trente croquignoles ou douze coups de bâton
ACTE II
Scène 2
en long ou en large
ébranler le cerveau
elle fait semblant de parler
Scène 4
que vous serez bien engendr-é
Scène 5
ils parlent tous deux en même temps
grand benêt
un second père
baiserai-je
ne plus ne moins
la statue de Memnon
héliotrope
un garçon qui n’a point de méchanceté
ferme dans la dispute
opinions de nos anciens
la circulation du sang
une grande thèse roulée
pour l’image
la dissection d’une femme
dans les formes
chanter avec Mademoiselle
petit opéra impromptu
sous le nom d’un berger
je vous regarde
en voilà assez
Scène 6
inclination
impression dans mon âme
par contrainte
nego consequentiam
nous lisons des Anciens
enlever par force
Les Anciens sont les Anciens
soumis aux volontés de celle qu’on aime
distinguo
l’étroite sympathie
rôti, bouilli
nombre impair
Scène 8
papa
la fable du Corbeau et du Renard
conte de peau d’âne
le fouet
mon petit doigt
Scène 9
dissipera votre chagrin
Second intermède
Egyptiens
Mores
aimable jeunesse
on en redoute toutes les douceurs
s’il est volage
ACTE III
Scène 3
être malade en dépit des gens et de la nature
point d’homme qui soit moins malade que vous
vous n’êtes point crevé de toutes les médecines
une chose que tous les siècles ont révérée
un homme qui veut se mêler d’en guérir un autre
jusques ici
des voiles trop épais
nommer en grec toutes les maladies
pompeux galimatias
tout le monde a recours aux médecins
ils s’en servent pour eux-mêmes
la faiblesse humaine
l’erreur populaire
un homme qui croit à ses règles
balance
à sa femme et à ses enfants
la nature d’elle-même
de pures idées dont nous aimons nous repaître
de belles imaginations
ce ne sont point les médecins qu’il joue
je le laisserais mourir
point de secours
de la force que pour porter son mal
Scène 4
parler à des visages
une seringue à la main
Scène 5
on se moque de mes ordonnances
nettoyer votre corps
je vous abandonne
Scène 6
je suis mort
ne donnez point tant à votre imagination
est-ce un oracle qui a parlé ?
le courroux de Monsieur Purgon
un homme d’une grande prévention
Scène 8
Scène 9
Scène 10
cela est admirable
quatre-vingt-dix ans
de ville en ville
à l’agonie
votre nourriture
crever un oeil
le poumon
ce qu’il aurait fallu faire pour le guérir
Scène 11
l’entêtement où vous êtes pour elle
contrefaire le mort
n’y a-t-il point quelque danger
Scène 12
quelle perte est-ce que la sienne
malpropre, dégoûtant
je veux me saisir
surprise et épouvantée
le défunt n’est pas mort
Scène 13
Scène 14
je ne suis pas mort
habit
la barbe
carnaval
Troisième intermède
une cérémonie burlesque
virtus dormitiva
dignus est entrare
remediis aucunis
ancienni aviso
clysterium donare
juro
occidendi impune
per totam terram