Les plaisanteries sur l’endroit où les médecins et apothicaires « mettent le nez » sont fréquentes dans la littérature comique du XVIIe siècle.
On en relève des occurrrences
– sur une planche de Lagniet intitulée « Le médecin merdifique »
– dans la comédie L’Apothicaire dévalisé (1660) de Villiers (1)
– dans Les Nouvelles et Plaisantes Imaginations de Bruscambille en suite de ses fantaisies à monseigneur le Prince (1615) (2)
– dans une des Chansons de Gaultier-Garguille (1631) (3)
– dans une équivoque contenue dans Les Contes aux heures perdues (1643) de d’Ouville (4)
– dans les Oeuvres de Tabarin rééditées en 1664 (5).
Cet aspect de la pratique médicale avait éte auparavant dénoncé dans le De vanitate scientiarum (1531) de Cornelius Agrippa (6)