Le coût élevé des parties d’apothicaire est déploré par les contemporains, entre autres par Guy Patin :
Tant que nous aurons de la casse, du séné, du sirop de roses pâles, nous pourrons toujours continuer à délivrer Paris de la tyrannie et de la trop grande cherté des parties d’apothicaire.
(Lettre du 2 mai 1660, éd. J. H. Reveillé-Parise, 1846, t. III, p. 203)