« CLIMÈNE ET DAPHNÉ Berger, laissons là tes feux, Voilà Flore qui nous appelle.
TIRCIS ET DORILAS Mais au mois dis-moi, cruelle,
TIRCIS Si d’un peu d’amitié tu payeras mes voeux ?
DORILAS Si tu seras sensible à mon ardeur fidèle ?
CLIMÈNE ET DAPHNÉ Voilà Flore qui nous appelle. »
Le Malade imaginaire, Prologue
La première scène de Mélicerte avait déjà exploité le motif des échanges stichomythiques de bergers (« je te vais dire adieu »).
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