La même rime avait été utilisée, dans des vers également inspirés par « le changement du coeur d’un amant », au sein d’une élégie parue dans les Poésies (1666) de Madame de la Suze :
Et qui pis est, disais-je, hélas, si je m’engage,
Peut-être un jour Tircis, infidèle et volage,
Fera dedans mon coeur faire naître autant de soupirs
Que j’aurai pris de soins à flatter ses désirs.
On sait de cent beautés les tristes aventures
Et l’empire amoureux est rempli de parjures.
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