Le même jeu de scène était mis en oeuvre dans le spectacle « La-Hotte / La Zerla », si l’on en croit les notes de l’Arlequin Biancolelli traduites par Gueulette :
Je m’approche d’Octave pour lui dire ce que j’ai entendu d’Eularia ; il m’ordonne de parler bas, alors j’ouvre la bouche et je feins de parler ; il me dit : « Trop bas ».
(éd. D. Gambelli, Arlecchino a Parigi. Lo scenario di Domenico Biancolelli, Rome, Bulzoni, 1993, t. II, p. 198)