Le lieu commun du torrent irrésistible avait servi à l’éloge de Louis XIV dans le poème « Au roi, sur sa conquête de la Franche-Comté » (1668) de Desmarets de Saint Sorlin (1)
(1)
La Flandre et la Bourgogne à peine ont pu te voir,
Que leurs forts sont soumis à ton juste pouvoir.
Bientôt l’une en tes mains tombera tout entière,
L’autre est déjà sujette, et te sert de frontière,
L’une et l’autre confuse admire en son vainqueur
Que la force du sens conduit celle du coeur.
Chacun de ce torrent craint l’âpre violence.
( p. 2)
(voir également que je ne pusse inonder )