Ce roman revêt une grande importance pour la genèse des Précieuses ridicules. Mais son influence se diffuse plus largement aux comédies de Molière créées au début des années 1660.
On trouvera ci-dessous une liste des principales rencontres que nous avons relevées :
Les Précieuses ridicules
les grâces dépendent de l’action
les ridicules qui les imitent mal
nous leur jouerons tous deux une pièce
il n’y a rien à meilleur marché que le bel esprit
il se pique ordinairement de galanterie
dédaigne les autres valets jusqu’à les appeler brutaux
les pieds de mouton qu’elles emploient
procédé irrégulier
raisonnable
ce lien sacré où ils aspirent
débiter les beaux sentiments
pousser le doux, le tendre et le passionné
dans les formes
mettre sur le tapis
l’union conjugale
ma cousine donne dans le vrai de la chose
toute leur personne marque cela
on n’y dure point, on n’y tient pas
une fille si spirituelle que moi
le beau style
il faut que vous demeuriez d’accord
ma chère
une naissance plus illustre
toutes les apparences du monde
l’antipode de la raison
bien tournés
un tour spirituel et galant
chromatique
on les fait valoir
donner sur tout ce qu’il y a de plus beau
vous sentirez quelque coup
une furieuse dépense en esprit
courante
il n’y a pas moyen
Le Cocu imaginaire
changer de mari comme on fait de chemise
le ragoût d’un galant
les gens de police
L’Ecole des maris
sage que par contrainte
aux choses du ménage
d’un tel vieillard je prise plus le zèle
je laisse à son choix liberté tout entière
cette pratique infâme
Dépit amoureux
pourquoi subtiliser
posséder par un autre un coeur qu’on a manqué
L’Ecole des femmes
bien des gens ont frondé cette comédie
me charger d’une spirituelle
vous faire dans le monde un nom de seigneurie
de retour du voyage
en se mariant le crime en soit ôté
le mariage n’est pas un badinage
en vous faisant moitié de ma personne
comme un morceau de cire
contrat
de tendresse innocente et d’ingénuité
La Critique de L’Ecole des femmes
façonnière
grain de sel
l’honnêteté d’une femme n’est pas dans les grimaces
Moi, rien. Tarte à la crème
bien touchée
sans le secours d’Horace et d’Aristote
avec vos grands mots
Te voilà mal ajusté
La Princesse d’Elide
prend droit de nous charmer
passable
L’Amour médecin
contrat
L’Avare
ne m’assassinez point
assaisonne
Le Tartuffe
non point par charité, mais par un trait d’envie
discourir des choses et non pas des mots
empêcher qu’on ne cause
fort mal édifiée
un air doux
Le Misanthrope
avec lumière et choix cette union veut naître
parler de gens extravagants
une vieille chanson
prude
ARSINOÉ, CÉLIMÈNE
qui m’attache à tous vos intérêts
Le Sicilien
s’émancipent
Georges Dandin
dans la maison de Sotenville
acheté la qualité de son mari
m’enterrer toute vive
cette tyrannie de Messieurs les maris
sans consulter mes sentiments
Monsieur de Pourceaugnac
toute la parenté
Le Bourgeois gentilhomme
deux révérences
Les Femmes savantes
ce vulgaire dessein
ce noeud bien assorti
tous ces soupirs chez vous sont choses vaines
une amour grossière
en raisonnable époux
fait figure
l’on s’en meurt
cette grande faim
un enfant tout nouveau-né
de science aussi les femmes sont meublées
on verra dans peu nos règlements
le retranchement de ces syllabes sales
les juges des ouvrages
tenir son coin
les honteux larcins
une grande nouvelle
Le Malade imaginaire
la statue de Memnon
pour l’image
nous lisons des Anciens