Dans La Précieuse (1656-1658) de l’abbé de Pure, le personnage de Parthénoïde dénonce le célibat des précieuses par les termes suivants :
cette maudite manière de vivre […] qui par une nonchalance criminelle permet en toute liberté le ravage de la vieillesse et des ans, sous prétexte de réprimer les sens et de suivre une loi plus spirituelle.
(éd. Magne, Paris, Droz, 1938, t. II, p. 114)