ACTE I
Scène 1
en se querellant
Aristote a bien raison
une femme est pire qu’un démon
benêt d’Aristote
fagots
carogne
la première nuit de nos noces
c’est vivre de ménage
mets-les à terre
ne fait que jouer
ivrogne
il prend un bâton et lui en donne
Scène 2
Scène 4
nous cherchons aussi
quelque habile homme
l’usage de la langue
vous ne pouviez vous mieux adresser
où pouvons-nous le rencontrer ?
tous les grands hommes ont toujours du caprice
un habit jaune et vert
miracles
or potable
on la tenait morte
l’enfant aussitôt se leva
jouer à la fossette
médecine universelle
s’il ne tient qu’à battre
la vache est à nous
Scène 5
bouteille jolie
un grand jeu de théâtre
nous venons implorer votre aide
couvrez-vous
bien pleins de cérémonie
il y a fagots et fagots
je suis médecin
je ne sais combien de maladies
ACTE II
Scène 1
déchausser ses souliers
un emplâtre
je vous dis et vous douze
Messieurs les héritiers
morgué
Scène 2
son chapitre des chapeaux
charmante nourrice
il lui porte la main sur le sein
Scène 3
Scène 4
sans l’ordonnance du médecin
vous l’avez fait rire
tant mieux
qui ne veut pas que sa femme soit muette
tout du premier coup
d’où cela vient
humeurs peccantes
cabricias arci thuram
bonus, bona, bonum
l’habile homme que velà
ce qui fait que votre fille est muette
l’endroit du foie et du coeur
quantité de pain trempé dans du vin
une vertu sympathique
tant pis
cette grande santé est à craindre
pour la maladie à venir
une boutique d’apothicaire
je n’en prendrai pas
ACTE III
Scène 1
habit
malgré mes dents
l’erreur s’est répandue
gâter un homme sans qu’il en coûte rien
Scène 2
malade d’hypocrisie
enflée partout
révérence parler
comme dit l’autre
de l’onguent miton mitaine
portions cordales
il demande de l’argent
du fromage
de l’or, du coral et des perles
Scène 3
Scène 5
Scène 6
pour l’amuser
la partie brutale
comme le soleil
ô admirable médecin
puissance paternelle
cette tyrannie
vous rendre sourd
deux drachmes de matrimonium
remède spécifique
Scène 7
Scène 8
Scène 10
Scène 11