Le développement funeste de la maladie de la reine mère avait amené à faire appel à des guérisseurs de toutes sortes, ainsi que le révèle une lettre de Guy Patin :
On fit hier au Louvre une consultation des rabbins de la cour, sur les offres que faisait un paysan pour la guérison de la reine, mais il fut refusé ; il s’y présenta pareillement un moine, qui fut aussi rejeté.
(Lettre du 18 août 1665, éd. J. H. Reveillé-Parise, 1846, t. III, p. 549)