Comme l’ « or potable », la « médecine universelle », qui apporterait la jeunesse éternelle (voir « quatre-vingt-dix ans »), relève, pour les esprits éclairés, d’une superstition :
De vingt ans en vingt ans, j’avale une prise de cette médecine universelle qui me rajeunit, restituant à mon corps ce qu’il a perdu de ses forces.
(Cyrano, Lettre Pour les sorciers, p. 85- 86)