Un jeu de scène semblable est mis en oeuvre dans Le Sicilien (« à l’écart »), ainsi que dans le spectacle du Théâtre italien intitulé « La-Zerla / La hotte », joué sur la scène du Palais-Royal durant les années 1660.
Les notes personnelles de l’Arlequin Biancolelli, traduites au siècle suivant par Gueulette, fournissent la description suivante :
Je mets la hotte sur mes épaules et je m’approche de la maison du Docteur, qui paraît; pendant que je lui parle sur les sciences et je lui fais un imbroglio, l’amoureux qui est dans ma hotte s’accroche à la fenêtre, s’y embarrasse et ne peut entrer dans la maison ; pendant ce temps, je dispute avec le docteur, auquel je tourne la tête de mon côté, afin qu’il ne voie pas Octave.
(éd. D. Gambelli, Arlecchino a Parigi. Lo scenario di Domenico Biancolelli, Rome, Bulzoni, 1993, t. II, p. 200)