Equivalent français de Leandro, nom fréquemment porté par les amoureux,
– aussi bien dans la commedia dell’arte
– par exemple, dans L’intrico (1606) de Paolo Veraldo, comédie imprimée issue de la commedia dell’arte : « Leandro, figlio innamorato ».
– que dans la comédie érudite
– par exemple, dans L’Erofilomacchia (1595) de Sforza d’Oddi.
On le retrouve fréquemment porté dans la comédie française des années 1640-1650 :
– D’Ouville, Les Soupçons sur les apparences (1650)
– Boisrobert, La Jalouse d’elle-même (1650)
– Boisrobert, L’Amant ridicule (1655)
– Gillet de la Tessonerie, Le Campagnard (1657)
et dans la comédie des années 1660 :
– Chevalier, Les Amants ridicules (1662)