Une plaisanterie similaire figurait dans la comédie L’Ambassadeur d’Afrique (1666) de Du Perche :
LELIE
Mais enfin je ne saurais vivre
Si ton secours ne me délivre
D’un rival que j’ai sur les bras.
CRISPIN
Mettez-le à terre, étant à bas
Il ne vous fera plus de peine.
(I, 2, p. 12-13)
Dans une lettre de 1689, Mme de Sévigné se souviendra de la plaisanterie de Molière ( p. 59-60).