OUVERTURE
aimons-nous
la douce chose que d’aimer
ACTE I
Scène 1
que ne laisse-t-il en repos les chrétiens
le coche
Scène 2
voilà un illustre
n’allez point tenter sur l’avenir
Scène 3
des nigauds qui vous regardent et se mettent à rire
la grâce avec laquelle vous mangiez votre pain
la sincérité de mon pays
Scène 4
le meilleur ami de toute la famille
cimetière des Arènes
l’église Saint-Etienne
toute la parenté
Scène 5
apothicaire indigne
croix de par Dieu
le grand chemin
un homme expéditif
pas d’autres remèdes
sous sa conduite
méthodiquement
Scène 6
Scène 7
vous traiter du mieux qu’il sera possible
Scène 8
mangez-vous bien ?
faites-vous des songes
tant pis
comme ainsi soit que
parfaite curation d’icelle
diagnostiques et prognostiques
trois espèces de mélancolie
mélancolie hypocondriaque
signes pathognomoniques
le divin vieillard
cette habitude du corps
dégénérer en manie
fine frénésie
ignoti nulla est curatio morbi
la basilique, puis la céphalique
les remèdes que nous devons faire à Monsieur
les esprits animaux
bain d’eau pure et nette
il est bon de le réjouir
joindre des danseurs
manibus et pedibus descendo
nombre impair
numero deus impari gaudet
l’inquiétude de changer de place
vous guérir
ne sent pas son mal
Scène 10
Scène 11
un petit clystère
huit Matassins
dansent à l’entour
une seringue à la main
ACTE II
Scène 1
ennemi de soi-même
remèdes salutaires
je vais lui parler tout à l’heure
Scène 2
je vous défends de procéder au mariage
quelque mal…
obligés au secret
Scène 3
Montsir
payer ses créanciers
fourbes de la première classe
Scène 4
ta, ra, ta, ta
l’intérêt du prochain
si je le puis faire en conscience
scandaliser son prochain
une vie déshonnête
Scène 6
tudieu
vertigo
vertu de ma vie
Scène 7
à la fi yeu te trobi
que veut cette femme-là
Scène 8
Scène 10
Scène 11
nos auteurs, législateurs et glossateurs
l’avocat, traînant ses paroles
polygamie
deux procureurs et deux sergents
ACTE III
Scène 1
Scène 2
Pourceaugnac, en femme
le titre d’écuyer
bel air
Scène 3
Scène 4
Scène 5
Scène 7
et je veux, moi
je sais me montrer le maître
Scène 8