Fine frénésie

« Laquelle maladie par laps de temps naturalisée, envieillie, habituée, et ayant pris droit de bourgeoisie chez lui, pourrait bien dégénérer, ou en manie, ou en phthisie, ou en apoplexie, ou même en fine frénésie et fureur. »
Monsieur de Pourceaugnac, I, 8

La fine frénésie est définie dans les Oeuvres (1631, rééditées en 1669) de La Framboisière :

La fine frénésie est causée d’une inflammation simple ou érysipélateuse, ayant son origine, celle-là d’abondance de sang, celle-ci de bile jaune ou d’humeur bilieuse devenue noire par adustion, qui occupe les raies du cerveau, et aucunes fois le cerveau même.
(éd. de 1669, p. 218)

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