L’usage de la conjonction « comme ainsi soit que » est condamné dans le traité De la connaissance des bons livres (1671) de Charles Sorel :
Nicolas Coëffeteau, évêque de Marseille, a écrit d’un style plus fort, mais on l’a pourtant repris de quelques mots qu’il a affectés ; de son comme ainsi soit que, avec lequel il commence des chapitres et des périodes, dans son livre des Passions et dans quelques autres ouvrages.
( p. 357)