L’épithète « indigne » est normalement utilisée comme qualification d’humilité par les prêtres :
Il se mit donc à crier : « Monsieur de Laune, si vous me tuez, je vous cite devant Dieu. Je suis sacré prêtre indigne, et vous serez excommunié comme un loup-garou. »
(Scarron, Le Roman comique, 1651, chap. I, 14)
Elle apparaît fréquemment dans les signatures :
Denys, prêtre indigne,
De Dieppe, le 1er décembre 1666 (1)Ruffy, prêtre indigne,
En Avignon, ce 29 décembre 1647 (2)Fait à Paris, en la maison de mon père, ce vendredi dixième janvier 1687
Sébastien Le Nain de Tillemont, prêtre indigne (3)