OUVERTURE
ACTE I
Scène 1
une étrange affaire
une leçon bien parlante
la fille d’un gentilhomme
la noblesse, de soi, est bonne
le style des nobles
acheté la qualité de son mari
Scène 2
Scène 3
morbleu
à telle fin que de raison
Scène 4
me dire Madame
il y a grande différence de vous à nous
mamour
corbleu
par leur nom
affaires fort délabrées
le ventre anoblit
dans la maison de Sotenville
Scène 5
Scène 6
ACTE II
Scène 1
ne sais-tu pas bien ce que je veux dire ?
morgué
tribouiller le coeur
tant de beurre pour faire un quarteron
voilà comme il faut faire
ceux qui nous ouvrent leur bourse
je n’aime pas les patineurs
rude à pauvres gens
beauté rudânière
j’y ai déjà été attrapée
Scène 2
des noeuds aussi vénérables
les galants n’obsèdent jamais que quand on le veut bien
on me trouve bien faite
m’enterrer toute vive
cette tyrannie de Messieurs les maris
sans consulter mes sentiments
me soumettre en esclave à vos volontés
les douces libertés que l’âge me permet
Scène 3
Scène 4
il n’est pas nécessaire
testiguenne
Scène 7
marchand qui perd ne peut rire
me faire ce qui lui plaît
carogne
ACTE III
Scène 1
la nuit est avancée
pourquoi il ne fait point jour la nuit
je sais lire la lettre moulée
Scène 2
Scène 3
il prend Georges Dandin pour Claudine
Scène 4
Scène 6
c’est maintenant que je triomphe
crocodile
je me tuerai sur la place
aller ivrogner toute la nuit