L’entrée de ballet faisant intervenir des bergers est un classique des ballets de cour.
Elle figure, par exemple, dans
– le Ballet Royal de la Nuit, de Benserade, Boësset et Cambefort (1653) (Livret du ballet, Ve entrée, p. 11)
– le Ballet des Plaisirs, de Benserade et Lully (1655) (Oeuvres de M. de Benserade, t. II, p. 117)
– le Ballet d’Acidiane (LWV 9), de Benserade et Lully (1658) (Copie de Philidor, IIIe partie, 2e entrée, p. 56)
– le Ballet des amours déguisés (LWV 21), de Périgny, Lully et Lambert (1664) (Livret du ballet, p. 31)
– le ballet du Palais d’Alcine LWV 22 (1664)
– le ballet de La Naissance de Vénus (LWV 27) de Benserade, Lully et Lambert (1665) (6e entrée, p. 200)
– le ballet Les Muses (LWV 32), de Benserade et Lully (1666) /Marche pour les Bergers
– La Grotte de Versailles (LWV 39), églogue en musique de Quinault et Lully (1668) (Recueil de pièces galantes, 1695, p. 81 et suivantes) (copie musicale, p. 6)
– Le temple de la paix (LWV 69), de Quinault et Lully (1685)
ainsi que dans certaines tragédies en musique de Quinault et Lully :
– Alceste (LWV 50) (Apollon et le choeur des bergers, Copie musicale de Philidor, V,5, p. 284)
– Thésée (LWV 51)/La Bergerie
– Bellérophon (LWV 57)/Bergers
– Roland (LWV 65)/Pâtres, Pastourelles et Bergers
– Acis et Galatée (LWV 73)/Bergers et Bergères