Des allusions à ces « noeuds vénérables » avaient été glissées à plusieurs reprises dans des comédies de Molière :
– « ce lien sacré où ils aspirent » (Les Précieuses ridicules)
– « un mystère sacré » (Don Juan ou le Festin de pierre)
– « le mariage n’est pas un badinage » (L’Ecole des femmes)