PROLOGUE
tout beau, charmante Nuit
Mercure, sur un nuage
la Nuit, dans un char
les dieux sont-ils de fer ?
tous les déguisements
se faire à leur badinage
voir Jupiter taureau
les bêtes ne sont pas si bêtes
retardiez la naissance du jour
un bel emploi
les choses changent de nom
vous en savez plus que moi
ACTE I
Scène 1
la lanterne
marcher à l’heure qu’il est
par une nuit si noire
à quelle servitude
nous rengage de plus belle
d’estoc et de taille
récits de bataille
Scène 2
minois
châtier cette insolence
chétive créature
encolure
devant notre maison
je sens mon âme atteinte
où s’adressent tes pas ?
d’être homme et de parler
je veux savoir
tout cela n’est encore rien
m’empêcher d’entrer chez nous
es-tu Sosie encor ?
la grande raison
signons une trêve
quand tu serais démon
je ne puis m’anéantir
tudieu
ne sens-je pas que je veille ?
du port persique
maintenant que je le considère
il me semble que je suis moi
ce que j’ai fait tout seul
s’il n’était dans la bouteille
par la force
que je sois quelque chose
quand je ne serai plus Sosie
Scène 3
blâmé dans la bouche publique
cet honneur fatal
tendresse extrême
trembler pour ce qu’il aime
quelle en est la délicatesse
ce qu’unissent les dieux
Scène 4
mérites-tu, pendard
pousser les beaux sentiments
un mal d’opinion
ACTE II
Scène 1
vous êtes le maître
réponds mot pour mot
ce galimatias maudit
cela choque le sens commun
je ne l’ai pas cru
deux gouttes de lait
interdit notre porte
ce moi qui
à force de trop boire
Scène 2
l’absence de ce qu’on aime
vous osez me soutenir
de qui puis-je tenir la nouvelle ?
tendrement je vous embrassai
nous nous fûmes coucher
Scène 3
de sa femme on se doit abstenir
les jours caniculaires
Scène 4
solitude / inquiétude
le doux plaisir de se raccommoder
Scène 6
des raisons pour être excusé
Ah, trop cruel époux
ce qui n’était que jeu
coup favorable
ACTE III
Scène 1
à la fin je suis las
mille fâcheux cruels
la nature produit des ressemblances
charmes de la Thessalie
je veux la retâter
Scène 2
à la malice un peu porté
comment, ouvre?
as-tu peur que je ne l’oublie
si tu fais la moindre instance
il m’aurait déchiré
moi-même je frémis
quel est le cabaret ?
toi, mon maître ?
les plaisirs qu’il goûte
Scène 4
quel peut être son crime ?
éclaircir toute cette aventure
Scène 5
qui frappe en maître où je suis ?
l’autre est un imposteur
suspend mon jugement
un enchanteur, qui porte un caractère
Amphitryon contre lui-même
l’Amphitryon où l’on dîne
Scène 6
Scène 7
l’erreur devient un crime
il ne faut écouter que la vengeance
de l’épée au travers du corps
je me dés-Sosie
Scène 9
Scène 10
Jupiter, sur son aigle
chez toi doit naître un fils
un partage avec Jupiter
dorer la pilule
le meilleur est de ne rien dire