« Moi-même je frémis de ce que tu t’apprêtes,
Avec ces impudents propos.
Que tu grossis pour toi d’effroyables tempêtes!
Quels orages de coups vont fondre sur ton dos! » Amphitryon, III, 2, v. 1527-1530
Certains des termes de cette réplique figuraient déjà dans Les Sosies de Rotrou :
Quel orage de coups va pleuvoir sur ta tête, Moi-même j’ai pitié des maux que je t’apprête
(IV, 2)
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