Le « doux plaisir de se raccommoder » avait fait l’objet d’une série de questions d’amour dans le recueil des Questions d’amour, ou Conversations galantes, dédiées aux belles (1671) de Charles Jaulnay.
Ainsi :
2. Si les raccommodements en amour sont plus doux que les conclusions ?
R. Les raccommodements nous transportent dans l’excès de la joie, nous redonnent tout notre bonheur que nous croyions perdu, augmentent notre tendresse et celle de notre maîtresse; enfin, n’était les conclusions, les raccommodements sont les plus grands biens de l’amour
(« Des raccommodements en amour », p. 115)