Perroquet

« – Tu tiens, je crois, quelque langage.
– Demandez, je n’ai pas soufflé.
– Certain mot de fils de putain,
A pourtant frappé mon oreille :
Il n’est rien de plus certain.
– C’est donc un perroquet, que le beau temps réveille ».
Amphitryon, III, 7, v. 1794-1800

L’exemple du perroquet avait été utilisé dans la Grammaire générale et raisonnée (1660) de Port-Royal comme alternative au langage humain présentant les mêmes caractéristiques :

Jusques ici nous n’avons considéré dans la parole que ce qu’elle a de matériel et qui est commun, au moins pour le son, aux hommes et aux perroquets.
(éd. de 1664, p. 27)

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