Jupiter, sur son aigle

« Jupiter, dans une nue, sur son aigle, armé de sa foudre, au bruit du tonnerre et des éclairs »
Amphitryon, III, 10

Un artifice semblable était utilisé

 

– dans Les Amours de Jupiter et Sémélé (1666) de Boyer :

JUPITER descend, porté par son aigle, au milieu des nuées enflammées
(V, 3, p. 81)

 

Le théâtre se change en un théâtre de nuages et Jupiter paraît dans son palais, qui s’avance insensiblement vers le milieu du théâtre, durant qu’on chante ces paroles
(V, 9, p. 93)

 

– dans La Toison d’or (1661) de Pierre Corneille :

Le ciel s’ouvre […] Ce maître des dieux y paraît sur son trône, avec Junon à son côté […] Le rejaillissement des lumières qui portent sur ces dorures produit un jour merveilleux qu’augmente celui qui sort du trône de Jupiter, qui n’a pas moins d’ornements. Ses marches ont aux deux bouts et au milieu des aigles d’or, entre lesquelles on voit peinttes en basse-taille toutes les amours de ce Dieu […] Jupiter a un autre grand aigle à ses pieds, qui porte son foudre
(V, 6)

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