== Le Sicilien ==
Le Sicilien ou L’Amour peintre
Scène I
Scène II
qui pourrait-ce être que moi ?
s’avise de courir maintenant les rues
la plus fâcheuse de toutes les inquiétudes
ce que mes regards lui disent
je veux les faire chanter
vous êtes pour le bémol
Scène III
rochers, ne soyez point fâchés
les oiseaux réjouis
Ah mon cher Filène. Ah mon cher Tirsis
jamais les âmes bien saines ne se paient de rigueur
tigresse
Scène IV
en bonnet de nuit et robe de chambre
ce traître de Sicilien
lui donnant sur la joue
Holà, Francisque, Dominique, Simon
Scène V
ils seront frottés
le courroux du point d’honneur
ma qualité de fourbe
les talents que j’ai eus du Ciel
Scène VI
me réveiller si matin
c’est dire fort net ses pensées
on est toujours bien aise d’être aimée
la paraître à d’autres yeux
vous veut toute à moi
délicatesse
un admirable moyen d’avancer ses affaires
c’est beaucoup risquer que de leur montrer des soupçons
Scène VII
Scène VIII
mi servir a ti
en dépit de vos dents
Scène IX
qui ne veut pas qu’un gentilhomme sache rien faire
Scène X
portrait achevé
pour la gloire et pour la réputation
Scène XI
la manière de France
le sujet ne fournit que trop de lui-même
un original fait comme celui-là
les compliments
les vues favorables de la lumière
le tout dépend des attitudes
un peu plus de ce côté-là
un portrait qui soit moi
une petite bouche
qu’on court de risque à les peindre
ce que fit Alexandre
les Français ont un fonds de galanterie
vous ne devriez pas parler
Scène XII
j’entre ici librement
à l’écart
j’ai ce soufflet fort sur le coeur
me battre avec mon homme, ou bien le faire assassiner
elle a les yeux bleus
mes regards vous le disent
j’y consens
sans vous reconduire
au côté du menton
Scène XIII
demeurer d’accord
les Français ont quelque chose en eux de poli
s’émancipent
fleurettes
Scène XVIII
ravi de lui nuire
toutes les serrures et les verrous du monde
l’appui de la justice
pousser le perfide à bout
Scène XIX