« Vous avez des traits à qui fort peu d’autres ressemblent. Qu’ils ont de douceurs, et de charmes ! et qu’on court risque à les peindre ! »
Le Sicilien ou l’Amour peintre, sc. XI
Dufresnoy le souligne, dans L’Art de peinture traduit en français de 1668 :
Les peintres […] sont plus souvent dans les occasions du péché que d’autres, à cause du besoin qu’ils ont de voir le naturel.
( p. 149)