La traduction versifiée qu’a procurée Pierre Corneille du De imitatione Christi constitue un des grands livres de dévotion du XVIIe siècle.
A ce titre, elle use abondamment de l’imagerie et du vocabulaire dévots, parodiés à de nombreuses reprises dans Le Tartuffe et dans quelques autres comédies de Molière :
Le Tartuffe
au chemin du ciel
ravissements
comme du fumier
il détache mon âme
élancements
élancements
par de pareils objets les âmes sont blessées
le Ciel vous illumine
une surprise adroite
créature
de ce coeur vous adresser l’offrande
mon intérieur
mon infirmité
béatitude
je ne suis pas un ange
ineffable
tribulations
mon néant
bénignité
je ne vaux rien
l’humaine faiblesse
un malheureux pécheur
souillures
souffrir l’ignominie
appris à tout souffrir
Amphitryon
chétive créature
Les Femmes savantes
attachements
Le Malade imaginaire
nettoyer votre corps