Deux comédies de Plaute ont servi de substrat à des créations moliéresques :
– Aulularia (L’Avare)
– Amphitruo (Amphitruo)
D’autres comédies du même auteur peuvent être invoquées à propos des passages suivants :
– Asinaria
– * « voilà un illustre » (« Monsieur de Pourceaugnac »)
– * « jusqu’au chien du logis » (« Les Femmes savantes »)
– Bacchides
– * « me peindre en héros » (« L’Etourdi »)
– * « la belle proie » (« L’Etourdi »)
– * « ne me confiez point votre argent » (« Les Fourberies de Scapin »)
– * « Chrysale » (« Les Femmes savantes »)
–Curculio
– * « s’avise de courir maintenant les rues » (« Le Sicilien »)
– Epidicus
– * « acheter sourdement l’esclave idolâtrée » (L’Etourdi »)
– * « un nuage de coups de bâton » (Les Fourberies de Scapin »)
– * « pas moyen de vous rencontrer » (Les Fourberies de Scapin »)
– * « des menaces épouvantables » (Les Fourberies de Scapin »)
– Mostellaria
– * « mon père revient » (Les Fourberies de Scapin »)
– Poenulus
– * « un patron jeune et fort amoureux » (Dépit amoureux »)