On trouve plusieurs échos de l’oeuvre la plus célèbre de la littérature pastorale dans plusieurs comédies de Molière :
La Princesse d’Elide
Elide
le nom de cruelle
debout, debout
laissez-moi dormir
Ce sanglier, qui par nos gens chassé
un écho
arbres épais
me percer le coeur
Pastorale comique
Coridon
Hâtons-nous, ma Sylvie
Les Amants magnifiques
oiseaux amoureux
au-dessus de l’oreille
Psyché
C’est un bonheur si haut, si relevé
je suis le Dieu le plus puissant des Dieux
Pour une analyse des rapports entre cette pastorale et les comédies de Molière, voir C. Bourqui, Les Sources de Molière, Paris, SEDES, 1999, p. 134-136 et p. 419-420.