Le gelosie fortunate del principe Rodrigo

Giacinto Andrea CICOGNINI, Le gelosie fortunate del principe Rodrigo, Perugia, Sebastiano Zechini, 1654

Consulter la pièce dans l’édition de 1672

 

Molière a tiré de cette comédie de Giacinto Andrea Cicognini l’intrigue, ainsi que de nombreux éléments de détail de Don Garcie de Navarre.

 

Les principaux points de rencontre entre Le gelosie fortunate et la comédie de Molière sont les suivants :

 

– « plus il est jaloux, plus nous devons l’aimer »
– « un enfer pour tous deux »
– « vous bannirez enfin ce monstre affreux »
– « Que je tombe à vos pieds d’un éclat de tonnerre »
– « par cet écrit »
– « flatter toujours le faible de leur coeur »
– « c’est lors que plus il m’aime »
– « un peu trop au rapport de tes sens »
– « Confondons son esprit par son propre artifice »
– « La curiosité naît de la jalousie »
– « connaissez vos traits »
– « L’innocence à rougir n’est point accoutumée »
– « pour un amant aimé »
– « où l’avez-vous laissé? »
– « où vous ne serez point »
– « un coeur ne peut jamais outrager quand il aime »
– « en habit de cavalier »
– « pourrai-je à mon tour parler en liberté? »
– « il vous faut de moi détacher à l’instant »
– « rien de si noir que cette perfidie »
– « Fuyons-en promptement l’atteinte envenimée »
– « Mon plus grand ennemi se rencontre en moi-même »
– « votre maladie »
– « jaloux ou non jaloux »

 

Pour une analyse détaillée des rapports entre Don Garcie de Navarre et cette comédie, voir C. Bourqui, Les Sources de Molière, Paris, SEDES, 1999, p. 357-368.

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