Ces vers, repris de la sc. I, 11 de la comédie Le gelosie fortunate del principe Rodrigo, constituent des maximes d’amour.
L’idée topique que « les injures des amants n’offensent jamais » se trouve également dans la Sophonisbe (1663) de Pierre Corneille :
Jamais à ce qu’on aime on n’impute d’offense,
Quelque doux souvenir prend toujours sa défense,
L’Amant excuse, oublie, et son ressentiment
A toujours malgré lui quelque chose d’aimant.
(Sophonisbe, v. 63-67).