Ces termes sont très proches de ceux dont use Rodrigo dans la scène équivalente de la comédie Le gelosie fortunate del principe Rodrigo (II, 20, p. 104).
Lorsqu’il se découvre trompé, le héros de La Mère coquette (1666) de Quinault emploie la même expression : voir « Célimène me trompe ».