Un certain nombre d’idées et de notions illustrées dans le traité de Pierre Charron se retrouvent dans les comédies de Molière :
Dépit amoureux
« prud’homie »
Le Cocu imaginaire
« nous sommes les sots »
« un chagrin qui n’a nul fondement »
Dépit amoureux
« parle, afin qu’on te connaisse »
La Princesse d’Elide
« croyances publiques »
L’Amour médecin
« la faiblesse humaine »
Le Mariage forcé
« animi index et speculum »
Le Tartuffe
« zélés indiscrets »
« zèle »
« du faux avec le vrai faire la différence »
« métier et marchandise »
« demandent chaque jour »
« vindicatifs, sans foi, pleins d’artifices »
« se mêler de bien vivre »
« ils ne censurent point »
« serrez ma haire »
« prud’homie »
Monsieur de Pourceaugnac
« polygamie »
Psyché
« Deux parfaits amis »
« La constance est facile en mille occasions »
« Les encens qu’aux miens seuls on doit rendre »
Les Femmes savantes
« ce qu’ont dit les autres avant eux »
Le Malade imaginaire
« l’erreur s’est répandue »
« dans les formes »
« la faiblesse humaine »
« Ne donnez point tant à votre imagination »
La Jalousie du Barbouillé
« parler peu »