Des consolations illustres d’inspiration stoïcienne avaient été formulée par :
– Montaigne, dans l’essai I, 4 (« Que le Goust des Biens et des Maux Depend en Bonne Partie de l’Opinion que Nous en Avons »)
– Guillaume Du Vair, au livre I du traité De la constance et consolation ès calamités publiques (1594), (éd. de 1641, p. 311-338)
– Pierre Charron, dans le traité De la sagesse (1601), livre III, chap. xx à xxxv, (éd. de 1672, p. 656-669).