Qui se sent morveux, qu’il se mouche

« Qui se sent morveux, qu’il se mouche. »
L’Avare, I,3

Le proverbe, d’usage courant, figure

– sur une planche de Lagniet

– sur la page de titre du Bonjour et bon an à Messieurs les cornards de Paris et de Lyon, opuscule tabarinique de 1620 (éd. des Oeuvres complètes de 1858, t. II, p. 297)

– dans les Mimes, enseignements et proverbes (1581) de Baïf (t. 1, p. 26.)

– dans la « Satire XXVI » (1646) de Du Lorens

[…]
Il est tant d’autres maux qu’outre qu’ils nous font honte,
Un casuiste même en ignore le compte.
Un homme qui m’en voit toucher un autre ici,
En cas qu’il soit morveux, se doit moucher aussi
[…]
( Les Satires, 1646, p. 224.)

Le moteur de recherche fonctionne par co-occurence, par exemple, la saisie femmes superstition, affichera uniquement les fiches qui comportent les deux termes, et non toutes les pages qui comportent chacun des termes.