L’accent germanique (suisse allemand) que prend Scapin avait déjà fourni la matière à des effets comiques dans L’Etourdi (« seigneur suisse ») et dans Monsieur de Pourceaugnac (« deux suisses »).
Dans les mois précédents la création des Fourberies de Scapin, Montfleury avait à son tour exploité le procédé à l’acte II de sa comédie Le Gentilhomme de Beauce (achevé d’imprimer : 13 septembre 1670) (éd. des Oeuvres de 1705, t. II, p. 396 et suiv.)