Le jeu de scène qui accompagne ces répliques est décrit
– dans Le Médecin volant de Boursault (1)
– dans Trufaldino medico volante (2)
– dans « Il medico volante florentin » (3)
(1)
FERNAND à haute voix.
Seras-tu trop honteux si ton frère t’embrasse,
L’enfermé ?
CRISPIN
– C’est à lui … – Paix, Monsieur le Badaud,
Paix fripon, paix belître, et venez ici haut :Crispin met son chapeau sur son coude, et puis l’embrasse si adroitement, qu’il semble que ce soit une autre personne.
C’est moins par amitié que ce n’est par contrainte;
Venez, dis-je.
FERNAND à Philipin.
Tu vois, ce n’est pas une feinte.
(sc.XXIV)
(2)
Magnifico:
Son io; e bene sete pacificato con vostro fratello?
Trufaldino:
Signor sì, perché?
Magnifico:
Vorrei che si facesse alla finestra con voi.
Trufaldino:
Non volete altro adesso. Entra e mette la beretta sopra una mano e discorre con lui, quale parono due teste.
Magnifico:
Vedete se son dui.
(III, 5)
(3)
Cola fa reprensione al fratello, loro dicono che chiami alla finestra ancor lui, lui fa apparire il berrettino del fratello e li fa reprensione, facendo due voci, a Ubaldo sodisfatto.
(III, 4)