La réplique figure également dans la version que proposent
– Il convitato di pietra de Cicognini (1)
– Il convitato di pietra, version du recueil Montalvo (2)
On la retrouve également
– dans les Notes de Biancolelli sur le Festin de pierre (3)
– dans Le Nouveau Festin de pierre (1669) de Rosimond (4)
Ainsi que dans « L’Hôpital des fous » , autre spectacle joué au Théâtre Italien de Paris durant les années 1660 (5)
(1)
Passarino.
0 pover al me Patron, al me salari, è andà a cà del Diavol.
(III, 9)
(2)
Servi si dolgono del salario.
(III, 9)
(3)
Il abîme sous terre, je m’écrie : « Mes gages, mes gages ! Il faut donc que j’envoie un huissier chez le diable pour avoir mes gages ! »
(4)
CARRILLE à genoux.
Madame l’Ombre, hélas ! faites payer mes gages !
Voilà quelle est la fin de ces grands personnages,
Libertins comme lui, qui n’appréhendez rien,
Après un tel exemple, hélas ! pensez-y bien.
(5)
Les notes personnelles de l’Arlequin Domenico Biancolelli donnent l’indication suivante :
Je fais mes lazzi de désespoir et dis en mauvais latin qu’avant qu’il meure tout à fait, il se ressouvienne de mes gages.
(éd. Gambelli, Arlecchino a Parigi. Lo scenario di Domenico Biancolelli, Rome, Bulzoni, 1993, t. II, p. 119)