La tragédie de Pierre Corneille, Andromède (1650) III, 1 comprend un monologue dans lequel la jeune fille, attachée à un rocher, déplore son sort et attend la venue du monstre qui doit s’emparer d’elle: « enfin seule et toute à moi-même ».
Voir aussi la plainte de Marianne dans Tartuffe, acte IV, scène 3: « mon père, au nom du Ciel »