La scène reprend les grandes lignes des stances prononcées par l’héroïne de l’Andromède de Pierre Corneille, III, 1, alors qu’elle attend, liée au rocher, le monstre marin qui doit la dévorer.
Cette situation est évoquée métaphoriquement dans L’Avare: « le supplice où l’on veut l’attacher »