Le traité De la colère de Sénèque, traduit par Pierre du Ryer en 1651 ( éd. de 1669), inspire également deux passages des Fourberies de Scapin (voir « vous voulez quereller » et « contenter mon ressentiment »).
Dans une lettre à sa fille du 18 mars 1671, Madame de Sévigné exprime son rejet de la philosophie stoïcienne de Sénèque :
C’est ce pauvre Barillon qui m’a interrompue, et qui ne me trouve guère avancée de ne pouvoir pas encore recevoir de vos lettres sans pleurer. Je ne le puis, ma fille : mais ne souhaitez point que je le puisse ; aimez mes tendresses, aimez mes faiblesses : pour moi je m’en accommode fort bien. Je les aime bien mieux que des sentiments de Sénèque et d’Epictète.