La comédie O fidalgo aprendiz (1665) de Francisco Manuel de Melo comporte également une scène où l' »apprenti gentilhomme » prend maladroitement les leçons d’un maître à danser ( p. 242-243) après avoir suivi celles d’un « maître d’armes » et avant de suivre celle d’un poète (voir « maître de philosophie »).
Dans le ballet final du Mariage forcé, Sganarelle se faisait « enseigner une courante » par un maître à danser.