Le même hémistiche figurait dans la tragédie Oropaste, ou le Faux Tonaxare (achevé d’imprimer : 17 novembre 1662) de Boyer :
Je crains moins qu’un grand crime un si charmant abus ;
J’aurai soin de ma gloire : adieu, n’en parlons plus
( II, 2)
Auparavant l’expression « soin de ma gloire » avait été utilisée dans le Stilicon (1660) de Thomas Corneille, où elle rimait également avec « croire » :
Il faut avouer tout, il faut laisser tout croire.
Pour vous seule aussi-bien j’ai pris soin de ma gloire.
( IV, 3)