Le proverbe est cité en intégralité dans la comédie érudite italienne I falsi sospetti (1588) de Bernardino Pino, dont un autre passage est exploité par Molière dans la même scène (voir « comme les Grecs disent ») :
quel buono e egregio autor greco lasciò scritto athanaton esti kakon ananghicon igini
(I, 2)
Il provient du Florilège de Stobée, à la section LVI (« Pourquoi le mariage n’est pas bon ») :
athanaton esti kakon anankaion gunè
C’est un immortel fléau inévitable que la femme.
(Joannis Stobei sententiae ex thesauris graecorum delectae, éd. de 1543, p. 387)