Vaugelas

« Elle a, d’une insolence à nulle autre pareille,
Après trente leçons, insulté mon oreille,
Par l’impropriété d’un mot sauvage et bas
Qu’en termes décisifs condamne Vaugelas. »
Les Femmes savantes, II, 6 (v. 459-462)

La volonté qu’avait Vaugelas de régenter la langue en se fondant sur les critères de l’usage de la cour (voir « un terme bas et populaire ») lui avait suscité une querelle avec La Mothe le Vayer, que reflètent les textes suivants :

– La Mothe le Vayer, Considérations sur l’éloquence française de ce temps (1638)

– Vaugelas, préface des Remarques sur la langue française (1647) ( IX, « Réponse à quelques écrivains modernes »)

– La Mothe le Vayer,  « Des nouvelles remarques sur la langue française », Petits traités en forme de lettres (1647) (éd. des Oeuvres de 1756, VI, 2, quatre lettres)

Le moteur de recherche fonctionne par co-occurence, par exemple, la saisie femmes superstition, affichera uniquement les fiches qui comportent les deux termes, et non toutes les pages qui comportent chacun des termes.