Une plaisanterie analogue figurait dans la traduction française (1643) du Buscon de Quevedo :
Je mis pied à terre, je lui aidai à monter. Il n’en fût jamais venu à bout sans secours; il ne se pouvait aider que d’une main, car l’autre lui servait d’aiguillette; mais je fus fort épouvanté en lui rendant ce bon office-là : ses chausses étaient si rompues que je lui sentis le cul tout à nu sur la main.
( p. 190)