Sous le nom d’autrui

« Enfin, ma chère, enfin l’amour que j’eus pour lui
Se voulut expliquer, mais sous le nom d’autrui :
Dans ma bouche, une nuit, cet amant trop aimable
Crut rencontrer Lucile à ses voeux favorable »
Dépit amoureux, II, 1 (v. 441-444)

Dans L’Ecole des maris, Isabelle prétend que sa soeur lui a demandé l’autorisation d’entretenir Valère sous son nom (« entretenir cet amant sous mon nom »).

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